L’Association semaine du cinéma hispanique vous convie à la Soirée de clôture annuelle,
le jeudi 7 juin 2018 à 20h15 : Une soirée autour d’un film et du verre de l’amitié offert par l’Association, en partenariat avec le cinéma Le Capitole.
Nous proposons en avant première exceptionnelle :
Le film Zama de Lucrecia Martel, Argentine, en VOSTFR, multi primé (À la Mostra de Venise, au festival de Toronto, au festival de New York, Londres, Busan, La Havane, …)
Prix et Nominations: 11 prix dont prix de la mise en scène, prix du jury, Prix du Sud (meilleur Film , meilleure réalisatrice, meilleur scénario adapté, meilleure photo , meilleurs acteurs.)
Nommé à 12 condors d’argent (dont le meilleur film, meilleure réalisatrice, meilleur scénario, meilleure photo et réalisatrice)
Nommé au Prix Goya 2018: Prix du meilleur film latino américain
Durée : 1h55
genre: Drame, histoire
Synopsis: Fin du siècle. Le corregidor Don Diego De Zama, isolé dans le Gran Charco, espère une lettre du vice roi du Rio de la Plata signifiant sa mutation pour Buenos Aires. Souffrant de l’éloignement de sa famille, de l’ennui de son travail de fonctionnaire et du manque de reconnaissance de sa hiérarchie, il perd patience et se lance dans une entreprise désespérée.
Nous vous attendons nombreux pour cette soirée exceptionnelle et clôturer notre année cinématographique en beauté…
Cette année, nous aurons projeté les gagnants au Goya 2018:
Handia, pour le meilleur film espagnol
et Zama pour le meilleur film latino américain (23 prix et/ou nominations)
Prix pour les adhérents: 5,50 €
Après-midi Ciné conte :
Le 25 avril, l ‘Association semaine du cinéma hispanique en collaboration avec la médiathèque de Brioude a organisé une après-midi Ciné conte en direction des enfants, à partir de 4 ans.
Le conte « El cazagigantes (Le chasseur de géants) » a été suivi de 3 courts métrages sans paroles.
L ‘association semaine du cinéma hispanique en partenariat avec LE RIO a présenté une soirée débat:
Une soirée CINE DEBAT le vendredi 4 mai à 20 h au cinéma le RIO:
BUEN VIVIR, documentaire sur l’ EQUATEUR de François Mas, Michel Florian et Saltos Matias, tous les trois indépendants. En exclusivité
Première à Clermont Ferrand, ces trois jeunes réalisateurs dont 2 auvergnats à la rencontre de l’équateur…
Hommage au cinéma indépendant !!
Lors de la semaine du cinéma hispanique 2018 (17ème édition), le Prix du public a été attribué aux films suivants :
« Deliciosa fruta seca » de Ana Caridad Sanchez, film péruvien
« 100 metros » de Marcel Barena, film espagnol.
La Semaine du cinéma hispanique se déroulera
du 27 mars au 3 avril:
Vous pouvez télécharger les documents suivants:
Ou bien encore découvrir la bande annonce sur le lien: ici
Tarifs:
Adhérent : 5.5€ le ticket et 35€ la carte, non nominative, de 10 tickets
Non adhérent : 7€ le ticket
L’association semaine du cinéma hispanique propose le film » LA PUERTA ABIERTA « de Marina Seresesky (1h24, comédie dramatique en VOSTFR, 7 nominations et 3 récompenses. Elle a obtenu le prix du public lors de notre festival en avril 2017), en partenariat avec le ciné-club de Thiers le vendredi 9 mars à 20h30 au cinéma le Monaco à THIERS, dans le cadre du festival et en séance délocalisée.
Synopsis: Rosa est une prostituée, comme Antonia, sa mère qui pense être Sara Montiel et transforme sa vie en cauchemar. Rosa ne sait pas comment être heureuse. Elle n’y arrive pas. Mais l’arrivée inattendue de Lyuba va tout changer. ..
À voir ou à revoir, Prix unique: 5,70 €
L’Association Semaine du Cinéma Hispanique, Cinéfac, l’Atenéo et UFR « langues et civilisation » proposent, Le Mercredi 28 février à 20h30 dans les locaux de la faculté de lettres, amphithéâtre Agnès Varda, une soirée argentine avec un court métrage suivi du film « KOBLIC » de Sebastian Borensztein (Argentine 2017, 1h32, drame, histoire, en VOSTFR).
Synopsis: Argentine. Un ancien pilote de la Marine argentine, Tomas Koblic, s’enfuit après avoir désobéi à un ordre de l’armée soumise à la dictature. Caché dans une petite ville du sud du pays, sa présence attire l’attention du maréchal local d’une autorité abusive et sans scrupules. La conscience n’a nul endroit pour se cacher.
Prix: 3 € plein tarif et 1€50 : tarif réduit.
Nous vous invitons, en partenariat avec la saison culturelle de Romagnat, à la projection du film « Palmeras en la nieve (Palmiers dans la neige) », de Fernando Gonzalez Molina, le Mercredi 31 janvier 2018 à 20 h dans la salle des fêtes Raynoird de Romagnat (Avenue des Pérouses) ; film inédit.
« L’histoire, basée sur le roman de Luz Cabas, se déroule en Guinée équatoriale. Kilian (Mario Casas) quitte, avec son frère Jacobo, ses montagnes enneigées en direction de l’île de Fernando Poo en Guinée pour retrouver leur père, employé dans l’exploitation Sampaka où l’on cultive le meilleur cacao du monde. À son arrivée, Kilian découvre une île colonisée où chacun est à sa place.
Des années plus tard, Clarence (Mariana Ugarte: Julieta de Almodovar), nièce de Kilian, décide de s’envoler pour la Guinée Equatoriale, afin de mettre à jour un passé qui lui échappe et risque bien d’y rencontrer un destin… »
(Drame, romance, histoire, tout public) le film a obtenu 5 Goya et 3 Gaudi
Pot offert par l’Association à l’entracte
Prix unique : 3€
NB: film inédit, 2017, en avant-première, en exclusivité.
Nous vous attendons nombreux à cette projection unique.
le Mercredi 10 Janvier 2018 à 20h au CAPITOLE,
l’Association semaine du cinéma hispanique propose, en partenariat avec Le Capitole, une soirée exceptionnelle pour fêter la nouvelle année : culture, tradition et convivialité avec un documentaire Biopic suivi d’une dégustation de roscon et du verre de l’amitié.
1) Le film biopic, documentaire musical: Chavela Vargas de Catherine Gund et Daresha Kyi, 2018, prix du meilleur documentaire à Biarritz 2017.
2) Suivi de la galette des rois (ROSCON DE REYES et un verre de CAVA )
2 places de cinéma et 2 tablettes de turron seront gagnées par les rois et reines.
Tarif préférentiel pour les adhérents : 5 € 50
Synopsis : de Frida Kahlo à Pedro Almodovar, artiste inspirante et inspirée, ce récit composé d’images rares révèle une femme à la vie iconoclaste et d’une modernité saisissante.
Figure de proue de la musique mexicaine Ranchera, Chavela Vargas, restera à jamais empreinte de récits et de légendes. Chavela s’est-elle vraiment glissée tard dans la nuit dans les chambres des maris pour leur voler leur femme?
S’est-elle vraiment enfuie avec Ava Gardner au mariage de Elisabeth Taylor?
Avant son retour triomphant en Espagne grâce au soutien et à l’admiration de Pedro Almodovar, elle avait arrêté de chanter pendant si longtemps que les gens avaient cru qu’elle était morte. Vêtue comme un homme, fumant et buvant comme un homme, portant un pistolet, Chavela n’a cessé d’affirmer sa liberté, sa singularité, son identité et sa passion pour la musique et les textes engagés. (Source Allociné)
Pedro Almodovar dira d’elle : « pendant 20 ans je l’ai cherchée et il m’a fallu 20 ans pour m’en détacher »
CINE-DEBAT : « La semaine du cinéma hispanique », le distributeur du film « MARIANA » et « le Capitole » vous invitent à une soirée événement exceptionnelle, avec la présence de la réalisatrice Marcela Said, le mardi 19 décembre à 20 heures au cinéma le Capitole.Cannes à Clermont-Ferrand
Mariana (film Chilien) a obtenu de nombreuses récompenses:
Grand prix de la semaine de la critique à Cannes 2017, Prix de la révélation France 4, Prix fondation Gan à la diffusion, Prix SACD…
Marcela Said obtint pour son film l’été des poissons volants la caméra d’or à Cannes en 2013.
Grand prix du jury au festival America Latina à Biarritz, le grand prix Horizontes du festival de San Sebastian et la mention spéciale du jury au filmfest de Munich, au festival un certain état du monde du Monde et du Cinéma au forum des images à Paris 2017.
Sauve qui peut le court métrage, le cinéma Capitole et l’Association du cinéma hispanique vous invitent à une soirée exceptionnelle le MERCREDI 15 NOVEMBRE à 20h au Capitole.
Six coups de coeur des courts métrages 2017, primés et sélectionnés à Clermont Ferrand dont Timecode (la palme d’or à Cannes) et le prix du rire « Como yo te amo ».
Un bref aperçu:
1) LA CANOA de Ulises Diego Fio (Argentina 14′)
Itaeté y Ulises , un ancien et un adolescent Guarani , sont dans la montagne en train de construire un canoë. Itaé essaie de transmettre son savoir ancestral mais Ulises n’est pas intéressé. Car sa véritable vocation est la musique, il est rappeur..( Primé )
2) Con sana alegria de Claudia Muñiz (Cuba 18′)
Depuis un certain temps, Zayda prend soin de sa grand-mère, Juana qui souffre de sénilité. La veille de son anniversaire, elle essaie de reprendre sa vie d’avant.
3) Como la primera vez de Yennifer Uribe (Colombia 24′)
Rosa vit avec son époux et son fils. Mais elle ressent un profond mal être. Un jour elle s’offre une manucure au salon de beauté de sa voisine Dalia…
4) Partir de Maria Saavedra ( Venezuela 15′)
Maria vit dans une petite bicoque en plein désert. A plusieurs reprises , elle tente de s’enfuir pour retrouver son mari. Sa sœur Saida la retient à chaque mais un jour , fatiguée de sa situation, décide de partir avec elle. Les deux femmes entament alors un périple dans le désert vénézuélien…
5) Como yo te amo de Fernando Garcia Ruiz Rubio (Espagne 22’45)
PRIX DU RIRE en 2017 à CLERMONT FERRAND
Dani, un braqueur à la petite semaine, se fait arrêter par un femme flic. C’est le coup de foudre absolu, la révélation inespérée…
Une soirée haute en couleurs ; du Vénézuela en passant par l’Argentine, la Colombie, Cuba et l’Espagne.
Un panel différent et riche.
Nous vous attendons nombreux pour cette soirée.
Prix préférentiel pour les adhérents : 5 euros 50
VENDREDI 20 octobre 2017, dans les locaux de Canopé:
En commémoration du 80ème anniversaire du bombardement de Guernica, nous présentons à l’occasion de notre assemblée générale le film » GERNIKA » de Koldo Serra en VO multi langues, sous titrée en français.
« Bilbao , avril 1937. Henri , célèbre reporter américain sur le déclin , avant de repartir à Madrid, livre sa dernière chronique sur le front Nord à la rédactrice en chef du bureau de presse républicain, Teresa. Suite à une critique sans appel de son texte par cette dernière, Henri décide de couvrir la guerre civile espagnole et de raconter ce qui se passe réellement sur le front basque. »
L’association semaine du cinéma hispanique en partenariat avec l’atelier Canopé de Clermont-Ferrand (10 rue d’Amboise) propose une exposition de photographies intitulée « Salon de espera » 2 du 16 au 20 octobre 2017
Ouverture au public du lundi au jeudi de de 8h30 à 17h30 et le vendredi de 8h30 à 17h (entrée libre)
Dans l’esprit de la « Street Photography » , » SALON DE ESPERA » est une exposition qui relate la vie d’une ville cubaine , Sagua La Grande.
Située au milieu du pays , elle est la ville de naissance d’un peintre mondialement connu Wifredo lam( 1902-1982) dont seulement quelques peintures restant exposées au musée National des beaux arts de La Havane. Dernièrement, une exposition lui fut consacrée à Beaubourg.
Voici ce que disait Wifredo Lam en 1941:
« Ce que je voyais à mon retour à Cuba ressemblait à l’enfer, le tourisme frivole de La Havane contrastant avec la misère des noirs dans les campagnes.Tout le drame colonial de ma jeunesse vivait en moi. »
» Je veux que mes images soient capables de troubler les rêves des exploiteurs! »
C’est ce qu’il fit en peignant son plus célèbre tableau , La Jungle appelé par certains La Jungle Scandaleuse, acheté par le MoMa de New York et accroché à côté des » Demoiselles d’Avignon » de Picasso..
Sagua la Grande est aujourd’hui une ville peu touristique de 60000 habitants . Avec le cheval et le vélo comme moyens de déplacement , les bœufs pour travailler les champs. Un fleuve, Le Sagua Grande et une ligne de chemin de fer conduisant au port et à la mer.
Une ville autrefois coloniale, abandonnée par les bourgeois suite à la révolution,où une architecture néoclassique n’ayant rien à envier à La Havane , côtoie des maisons de bois.
Et cette sensation bizarre de quiétude et de temps suspendu….
En rentrant , nous avons eu le désir de partager ce que nous avions ressenti , à travers cette exposition photo intitulée » SALON DE ESPERA » ( salle d’attente).
Alain et Mariette
Nous vous convions le vendredi 6 octobre 2017 à 20h en partenariat avec le cinéma Le Rio à un Ciné-débat :
Che Guevara, le mythe et son double.
Séance suivie d’un débat avec les associations : Les Amis de l’humanité, France Cuba,
Les Amis du Temps des Cerises – Editions de l’Humanité – Temps noirs – Semaine du cinéma hispanique
En présence du réalisateur Tancrède RAMONET
Le 9 octobre 1967, après que Che Guevara ait été assassiné par l’armée bolivienne, son corps est exposé à la presse, et la photo de son cadavre diffusée dans tous les journaux. Ce traitement médiatique est un moyen pour Washington d’officialiser l’échec du guérillero, et de l’idéal qu’il représente. Mais même après sa mort, l’image du Che n’a pas perdu son pouvoir de fascination, et les foules du monde entier vont faire de son portrait l’icône d’une génération, au risque parfois de perdre de vue sa signification.
L’histoire de cette photographie mythique est connue, mais ce que l’on sait moins, c’est la conscience aiguë que le Che avait du pouvoir de sa propre image, et de l’enjeu politique que représentaient les nouveaux médias, et leur maîtrise. Dans un contexte de guerre médiatique entre Etats-Unis et URSS, Che Guevara a su forger sa propre image, au-delà des usages politiques que voulaient en faire les deux super-puissances.
Cette construction, cette « fabrique du mythe » répond à un objectif précis, et trop souvent oublié : Che Guevara veut créer un Homme Nouveau dont il pourrait être l’exemple et l’image, un homme nouveau qu’il faudrait faire connaître, à Cuba et dans le monde entier.
Pendant six courtes années, Che Guevara s’est dédié corps et âme à cette tâche. Aux avant-postes de la bataille médiatique mondiale, voyageant autour du monde, apostrophant la foule comme les puissants, écrivant, discutant, depuis son bureau de Ministre ou au volant d’un tracteur dans les champs de canne à sucre, il est partout, reconnaissable entre mille, barbu, vêtu de son treillis, béret étoilé sur la tête…
Et c’est ainsi que, sans le mesurer peut-être, Ernesto Guevara met en scène le Che, dessinant lui-même les contours de l’icône, semant les graines de la légende à venir.
Depuis les contreforts de la Sierra Maestra jusqu’aux profondes vallées de Bolivie, en passant par New York, Pékin, Moscou et Alger, tout au long d’une période pleine de bruit et de fureur, à partir de témoignages de premier plan, d’images d’archives méconnues et de documents inédits, Che Guevara, Naissance d’un mythe raconte pour la première fois comment un étudiant en médecine petit bourgeois et asthmatique est devenu l’image même de la Révolution.
Information.
Vous trouverez ci-après un lien vidéo concernant notre soirée d’ouverture de saison du 22 septembre dernier au Capitole, réalisé par Le Projecteur.
SOIREE CUBAINE le vendredi 22 septembre à 20h au Capitole:
L’association Semaine du Cinéma hispanique et le Capitole vous proposent :
Pour l’ouverture annuelle de notre Association, nous vous attendons nombreux, pour une soirée musicale haute en couleurs :
1) Démonstration de Salsa avec « YAMI CUBAY »: Yamirka et ses danseurs sauront vous transmettre son Energia Positiva, avec l’aide de leur humour détonnant..
2) Suivi du film documentaire « BUENA VISTA SOCIAL Club, el adios » de Lucy Walker en VOSTFR, 2017
3) Elle s’achèvera par le traditionnel verre de l’ Amitié offert par l’Association » avec Mojito
« Le parcours du groupe mythique dans la captivante histoire musicale de Cuba, tandis que ses membres reviennent sur leurs remarquables carrières et les extraordinaires circonstances qui les ont réunis »
*Trois raisons pour voir ce documentaire: il retrace l’extraordinaire ascension du célèbre orchestre de l’île de la Havane .En 1997, tout le monde tombe amoureux des mélodies populaires cubaines, jouées par ces musiciens à la retraite… Qui sont-ils? Comment sont-ils devenus virtuoses? Ce documentaire revient sur le parcours individuel de chacun de ses membres, au fabuleux destin.
C’est une rencontre hasardeuse des génies de la musique… La diva Omara Portuendo, le trompetiste Manuel Guajiro, Barbito Torres, le guitariste » Elias Ochoa »Lopez, Compay Segundo, Ruben Gonzalez, et le chanteur » Ibrahim Ferrer ». Grâce à des archives riches et des entretiens touchants avec les membres encore vivants du célèbre orchestre, notamment
*OMARA, la grande chanteuse encore en vie, qui raconte ses débuts, ses succès jusqu’à son ascension avec Buena Vista.
… LES morceaux de la musique cubaine et de Buena Vista ‘’CHAN, Chan, El cuarto de Tula », qui n’a pas entendu ces morceaux, ils résonnent et ré enchantent nos oreilles…
*Un bel hommage aux visages éternels de l’orchestre:
Les membres fondateurs toujours vivants quittent l’orchestre mais ont légué leurs mélodies intemporelles aux musiciens qu’ils ont formés et conduits jusqu’à la maison blanche en 2015 ( Barak Obama ».. ..)
Nous vous attendons nombreux à cette soirée ; 5,50 € pour les adhérents.